Les concours et les prix en Développement durable fleurissent en ce moment en Suisse romande. Après le prix IDDEA sur Genève, voici le concours IMPACT lancé par Ashoka pour la 1ère fois en Suisse.
Vous avez développé un projet à vocation sociale ou environnementale depuis plus d’un an ? Vous êtes dans une phase de consolidation de votre activité et vous avez besoin d’un coup de pouce? Le concours IMPACT peut vous aider à changer de voilure. Inscriptions avant le 19 mai.

A QUELLES ENTREPRISES S’ADRESSE LE CONCOURS?

Le concours IMPACT est ouvert à toutes les organisations à vocation sociale ou environnementale en activité depuis plus d’une année et dont le siège social se trouve en Suisse romande ou dans la région frontalière française à moins de 20 km de la frontière suisse (dans les départements de l’Ain, Haute Savoie, Jura, Doubs).

Pour consolider votre stratégie, réfléchir à de nouvelles sources de financement, améliorer la mesure de votre impact social.

Exemples de projets sélectionnés par le concours-impact habitat 2011 en France.

LES ÉLEMENTS CLÉS POUR PARTICIPER

Critères de sélection:

  1. Impact sociétal du projet
  2. Faisabilité de la stratégie de développement
  3. Créativité dans la mobilisation des ressources humaines et financières
  4. Motivation des équipes pour participer
Des chiffres:
  • Une dizaine de lauréats sélectionnés, qui bénéficieront d’un accompagnement professionnel durant 3 mois, incluant un coaching personnalisé et 3 workshops de 3 jours
  • Un jury final sélectionnera 3 gagnants parmi ces lauréats, qui recevront respectivement des prix de CHF 8’000.-, CHF 5’000.- et CHF 2’000.-
Un planning dense:
  • 19/05/2012 Fin de dépôt des dossiers de candidature
  • 08/06/2012 Annonce des organisations sélectionnées
  • 25/06/2012 Séminaire n°1 (à confirmer)

POURQUOI JE SOUTIENS CE CONCOURS?

Ce concours est à l’initiative d’Ashoka, le 1er réseau mondial d’entrepreneurs sociaux innovants. Ce réseau cherche à démultiplier les impacts positifs de l’innovation sociale en identifiant et soutenant des entrepreneurs sociaux novateurs et en favorisant un terrain de collaborations et d’échanges de bonnes pratiques.
On est sur un terreau professionnel qui promeut la Responsabilité Sociale des Entreprises de façon concrète par l’innovation. Askoka et McKinsey ont publié en mars 2012 une étude d’impact de l’entrepreneuriat social qui démontre pour 10 cas pratiques le différentiel entre l’argent public investi et les coûts évités pour la collectivité. Édifiant!

Transmettez l’information plus loin. Faites connaître le concours. Merci!

Evénement spécial Suisse romande du 26 mars 2012.
Comment soutenir Ashoka?

A tous les entrepreneurs sociaux en herbe avec de bonnes idées novatrices:
AVIS! Vous avez jusqu’au 13 avril pour inscrire votre projet sur www.prix-iddea.ch. Trouvez un contexte stimulant, un accompagnement professionnel et des récompenses financières à la clé! Gagner CHF 20’000-., ça aide pour décoller.

IDDEA récompense les « Idées de Développement Durable pour les entreprises d’Avenir » et permet de mener l’idée vers la création d’une nouvelle entreprise. IDDEA, c’est un concours pour les entrepreneurs en herbe qui portent leur projet au rythme de la Responsabilité Sociale d’Entreprise (RSE) alliant économie, social et environnement.

LES CHIFFRES CLÉS A RETENIR

  • 15 projets sélectionnés
  • 6 mois d’accompagnement de mai à octobre 2012
  • 3 prix décernés:
    CHF 20’000.- pour le meilleur projet d’entrepreneuriat durable
    CHF 5’000.- pour le meilleur projet en responsabilité sociale
    CHF 5’000.- pour le meilleur projet environnemental

Toute personne ayant un projet de création d’entreprise peut participer. Il n’est pas nécessaire de résider sur le Canton de Genève, mais les projets devront être réalisés sur le Canton.

POURQUOI JE SOUTIENS IDDEA?

Il y a près d’un an (le 6 avril 2011), l’idée IDDEA était lancée à l’occasion du débat « Le Développement Durable: de l’idée à la réalité » organisé par la Jeune Chambre Internationale de Genève au Green café.
J’y étais invitée comme entrepreneur pour contribuer à un tour de « verres » en présence d’Antonio Hodgers de Mobilidée, Julien Perrot, l’inventeur éditeur surdoué du magazine La Salamandre, pour les curieux de nature (il lança son premier numéro à 11 ans!) et des membres de la Jeune Chambre. J’y ai rencontré dynamisme, enthousiasme et de nouveaux esprits d’entrepreneurs. Je suis ravie qu’ils aient pu lancer l’initiative IDDEA et allier autour d’eux de si nombreux sponsors. Leur cause est la mienne.

D’autres en parlent:
CleantechAlps
Geneva Communicators Network
AlpICT

Faites passer l’information. Ils ont besoin de NOUS!
Echéance pour participer: vendredi 13 avril!

IDDEA sur Facebook.

Avez-vous entendu parler du R20 (Regions of Climate Change)? Etiez-vous peut-être mercredi 7 mars à Genève à la conférence de l’acteur et ancien gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger? J’ai personnellement assisté aux conférences « techniques » de l’équipe de «Schwarzie» qui ont eu lieu le jour même sur le thème: « Sur la route de Rio: les Régions bâtissent l’économie verte ». Hors des effusions médiatiques, quelques éléments concrets m’ont interpellée et que je n’ai vus nulle part retransmis dans la presse.

L’URGENCE DE LA CROISADE

« 80% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES) doivent être éliminés d’ici à 2050 afin de limiter le réchauffement de la planète à 2°C maximum et éviter les conséquences catastrophiques des changements climatiques », aperçu du R20.

Michèle Sabban, toute récente présidente du conseil d’administration du R20 a évoqué le rapport 2010 du Global Footprint Network qui précise qu’en 2007, notre empreinte écologique moyenne terrestre dépasse déjà de 50% la capacité de régénération des ressources de la Terre.

LES 4 PILIERS DU R20

A part «Schwarzie» qui est LE pilier impressionnant à l’initiative du R20, cette association à but non-lucratif dont le siège social est à Versoix s’appuie sur:

  • les gouvernements sous-nationaux proches du terrain et la création de partenariats publics-privés
  • les technologies en lien avec les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique
  • un réseau de partenaires investisseurs pour accélérer le financement des projets
  • une communauté en devenir sur la base du projet de communication Sustainia

Une année après son lancement officiel, le R20 comprend une vingtaine de membres et une trentaine de partenaires. Comment juger si ce nombre est significatif face à l’impact que souhaite créer le R20?

UN MESSAGE UNIQUE: ALLIER CROISSANCE ÉCONOMIQUE ET ÉCOLOGIE

Que ce soit Michèle Sabban, Reta Jo Lewis la représentante d’Hillary Clinton pour le climat ou Johannes Hahn commissaire européen chargé de la politique régionale, les trois ont accordé leurs violons pour affirmer que la croissance doit passer par l’économie verte et par une nouvelle forme de compétitivité par les innovations et non pas par les coûts.
Tous s’accrochent à la croissance en misant sur une meilleure efficacité des techniques et efficience des comportements et aucun ne veut envisager un autre modèle.

6 RÉGIONS SOUS LA LOUPE, 6 RÉSULTATS REMARQUABLES

© in-fuseon

Région de Puglia en Italie:
Avec ses 4,8 millions d’habitants et la plus grande centrale à charbon d’Italie, la région s’est donnée le défi de sortir de la dictature des énergies fossiles.
Les solutions énergétiques : l’éolien, le solaire et la biomasse.
Comment?:

  • en « solarisant » les bâtiments agricoles et les écoles
  • en sensibilisant les habitants aux économies d’énergie

Région du Languedoc-Roussillon en France:
Une population de 3 millions d’habitants qui croît de 5 à 10% par an, attirée par la candeur du sud ouest de la France! La région relève le défi énergétique:

  • en créant un laboratoire de recherche Greenstars notamment dans les domaines du bois et des algues  (nouveaux carburants, cosmétiques, alimentation)
  • en débloquant un prêt de 400 millions d’Euros pour financer l’énergie solaire et l’éolien
  • en misant sur le 4ème pilier du développement durable: la communication pour mobiliser la population

Région des Açores:
 « Il n’y a pas de petite région! » 9 îles, des difficultés insulaires de tous ordres et pourtant déjà 30% d’énergies renouvelables grâce surtout à la géothermie!

Région de Norrbotten en Suède:
Une région qui fait déjà partie de l’association Climactregions et qui regorge de bonnes pratiques en matière d’énergie hydraulique, éolienne et de biogaz. L’industrialisation du recyclage des déchets de ses 250’000 habitants permet actuellement d’utiliser du biogaz à 1 euro par m3!

Région de Pastaza en Equateur:
Voici une région de l’Amazonie qui se bat pour préserver sa culture et son mode de vie ancestrale. José Gualinga, président du peuple Kichwa de Sarayuku détonne parmi l’assemblée d’orateurs! Vêtu de sa coiffe indienne traditionnelle, il parle de l’importance pour son peuple de sauvegarder « sus planes de vida »! Et nous occidentaux, quels types de plans de vie sommes-nous en train de construire?

Région d’Asie du Nord Est: NEAR
Trop peu de temps a été alloué à Jae-Hyo Kim pour cette région en pleine expansion dont l’association NEAR regroupe des mastodontes tels que la Chine, le Japon, la Corée du sud, la Corée du nord, la Mongolie et la Russie. En tous cas, c’est un tour de force de l’association NEAR d’avoir pu mettre autour de la même table depuis 1998 de tels rivaux. Le R20 qui prévoit d’ouvrir une antenne en Chine en 2012 devrait pouvoir surfer sur cette vague!

CE QUI M’A MANQUÉ

Des chiffres, des objectifs et plus de concret sur les projets.

Sources d’informations:

Image de BioApply communiqué de presse

Après avoir reçu un tout récent communiqué de presse de l’entreprise suisse romande BioApply, j’ai décidé (découvrez ce qui m’a motivée!) de spontanément promouvoir leur offre.
Le « deal » est valable sur Dein Deal jusqu’à vendredi 10 février pour 7 rouleaux de 15 sacs à bretelles, 100% biodégradables et compostables pour déchets organiques de cuisine au prix promotionnel de CHF 19.50.- au lieu de 39.30.-grâce au principe d’achats groupés.

Découvrez les avantages de cette offre ponctuelle dans cet extrait du communiqué de presse de BioApply:

 « Trier ses déchets tourne souvent au casse tête. Il faut réduire ses déchets pour réduire sa facture, mais s’adapter comporte un coût. Les sacs composables sont onéreux, allant jusqu’à 45 centimes par sachet en grande surface! Partant de ce constat, BioApply en partenariat avec DeinDeal.ch…propose une offre unique en Suisse, des sachets de compost certifiés OK Compost et OK Home Compost à des prix allant jusqu’à 3 fois moins élevés que dans les grandes surfaces, frais de ports inclus. Cette offre sera disponible à partir de vendredi 3 février pour une semaine dans toute la Suisse Romande. Plus de 15’000 sachets seront disponibles. « 

POURQUOI PARLER DE CETTE OFFRE?
C’est un ensemble de facteurs concordants qui m’ont incitée à promouvoir cette offre. Découvrez plutôt! 

  1. Je trouve doublement intéressant et durable d’associer le principe collectif des achats groupés grands publics à un produit pratique et utile comme ce véritable sac plastique compostable et biodégradable. Ceci encourage l’utilisation d’un tel sac accessible  à CHF 0.18 soit pour 47% de son prix initial!
  2. Je m’étais déjà intéressée à ce produit en publiant un article complet et éclairant:  « Lumière sur les sacs plastiques: comment choisir le bon grain de l’ivraie? » . En effet tous les sacs plastiques qui se disent biodégradables ne le sont pas nécessairement!
  3. L’article avait généré un échange de commentaires très concrets entre un internaute qui cherchait justement de tels sacs par centaines pour son usage domestique et l’entreprise BioApply qui lui avait répondu par l’intermédiaire du blog d’in-fuseon. Pour moi ceci illustre l’utilité des media sociaux et l’importance de les gérer (veille et community management) dans le nouveau paradigme de la relation clients web 2.0.
  4. Je n’ai trouvé aucun relais du communiqué de presse dans les media dits « traditionnels » de type quotidiens (à moins que certains m’aient échappé!). Et pourtant même si en final BioApply fait du « business » à la sortir de cette opération commerciale, les media n’ont-ils pas un rôle de sensibilisation du public et de responsabilité sociale qui ne passe pas uniquement par les contre-parties publicitaires de leurs annonceurs?

CÔTE RESPONSABILITE SOCIALE D’ENTREPRISE (RSE)

Des normes volontaires (ISO 26000) aux normes encadrées? Le paysage du Développement durable mis en oeuvre par les entreprises va peut-être changer vers d’avantage de régulation. A quel rythme, selon quelles contraintes et opportunités? 2012 donnera certainement le ton.

« La crise confirme la nécessité de mettre de l’éthique dans les affaires…Bruxelles voit désormais la RSE encadrée comme un outil de régulation économique, sociale et environnementale et comme la possibilité d’améliorer la gouvernance des entreprises et de réduire les inégalités sociales croissantes. Les codes de conduite ne peuvent plus être laissés à l’initiative des seuls dirigeants d’entreprise et la Commission reconnaît implicitement que les entreprises ne sont pas assez engagées dans la RSE. On s’éloigne donc de la vision anglo-saxonne qui a prévalu jusqu’à aujourd’hui, qui faisait totalement confiance à l’autorégulation,  le rôle des gouvernements en tant que co-régulateurs ou régulateurs investis de leur légitimité démocratique apparaissant nécessaire en tant que complément », Michel Doucin ambassadeur à la Commission européenne. Son interview exclusive par Novethic.

Image extraite du rapport de CleantechAlps.ch

CÔTE CLEANTECHS

Le bon usage de technologies propres (cleantechs) est un des enjeux du pilier environnemental de la Responsabilité sociale des entreprises.
Face aux énormes défis énergétiques et économiques, les cleantechs  ont plus que jamais le vent en poupe. Ces technologies attirent par leurs 2 facettes:

  • la richesse intrinsèque (économique, environnementale et sociale) de telles technologies qui sont conçues avec des consommations énergétiques réduites dans leurs processus de production et leurs produits
  • le cercle vertueux de leur usage: produire et consommer des énergies  en réduisant les impacts, réduire les consommations, recycler

La Suisse par exemple qui a décidé d’abandonner progressivement le nucléaire renforce son pôle cleantechs par un rapprochement astucieux des milieux scientifiques, économiques et politiques. 2012 servira de plateforme d’observation et d’actions pour commencer la mise en oeuvre de nombre d’intentions.

« Les maîtres-mots sont : efficacité des ressources et cleantech… Il nous faut maintenant encore mieux utiliser ce potentiel et positionner la Suisse de manière optimale au niveau international. Afin de pouvoir encore mieux promouvoir les innovations dans ce domaine, la Confédération projette de regrouper les forces des milieux scientifiques, économiques et politiques. Le Masterplan Cleantech constitue à cet égard l’instrument idoine de coordination, qui montre la voie dans ce processus de transformation difficile des prochaines décennies et sert de référence à tous les intéressés », Doris Leuthard Cheffe du Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (DETEC). Etude de CleantechAlps pour mieux comprendre les cleantechs en Suisse Occidentale.

© in-fuseon.com

CÔTE MEDIA SOCIAUX

Y-a-t-il un lien entre les media sociaux et la RSE ou les cleantechs, direz-vous?
Il est vrai que les uns et les autres n’ont à priori rien à voir. Et pourtant!

Leur point commun à mon sens, c’est le besoin d’engager leurs publics tout en valorisant les actions concrètes. Leur différence, c’est le rythme des changements. Choisir Facebook ou Google+ ou sa propre plateforme? Alors que le web bouge très vite des centaines de millions d’internautes (voir les nouvelles tendances et évolutions annoncées à la conférence Le Web), le domaine du Développement durable évolue plus lentement.
Alors pourquoi ne pas utiliser les media sociaux et de nouveaux espaces communautaires pour sensibiliser et engager les publics internes et externes de l’entreprise vers l’usage des cleantechs, tout en restant conscient de l’évolution rapide et imprévisible de ces outils? Et oui, nous vivons dans un monde complexe dans lequel tout bouge en permanence.

Certains l’ont déjà compris. Ouvrez l’oeil en 2012!

Photo extraite du site de l'OFEN: www.bfe.admin.ch/energie

Savoir comment faire les bons choix, à quel prix et comment financer vos investissements en efficacité énergétique? Quelques tests d’investigations menés pour vous sur la plateforme SuisseEnergie.

Suite à la publication du Master plan Cleantechs en janvier 2011, j’indiquais dans l’article « Les cleantechs, un enjeu de taille pour la Suisse » que l’efficacité énergétique était un des axes majeurs de différentiation de la Suisse au plan national et international. L’efficacité énergétique des appareils et des bâtiments, combinée à l’efficience de nos comportements de consommateurs sont de bons moyens de réaliser des économies d’énergie.

Ce qui va déclencher l’efficience, l’efficacité énergétique ou les deux?
Un esprit consciemment éthique sans être dogmatique. Et certainement les aides et subventions. Tout le monde a envie, sur le principe d‘économiser l’énergie et notamment de diminuer sa facture d’électricité. Mais jusqu’à quel point, particuliers ou entreprises sont-ils prêts à investir sur leurs fonds propres?

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SAVOIR COMMENT FAIRE LES BONS CHOIX, A QUEL PRIX ET COMMENT FINANCER LES INVESTISSEMENTS?

De nombreuses initiatives existent en Suisse pour les particuliers et pour les professionnels au niveau fédéral, cantonal, voire même communal.
Dans l’imbroglio des aides, incitations financières et subventions, voici un acteur émanant de l’Office fédéral de l’énergie (OFEN) par lequel vous pouvez commencer votre recherche:
La plateforme SuisseEnergie pour toutes questions sur les économies d’énergies.

C’est une porte d’entrée bien conçue pour vous orienter vers d’autres organismes spécialisés. La route peut être longue. Vous y trouverez aussi quelques bonnes pratiques de type éco-gestes quotidiens et des conseils en ligne (hot line aux heures d’ouverture ou par courriel) ainsi que les liens vers les aides financières.

© in-fuseon.com

NAVIGUER SUR LA PLATEFORME DE SUISSE ENERGIE

La plateforme SuisseEnergie s’adresse à tout le monde, particuliers, professionnels et institutionnels sur tous les domaines de l’énergie dans l’habitat, les bâtiments, la mobilité et la production. Vous imaginez donc la structure complexe de l’information.

J’ai testé 2 recherches différentes plutôt en lien avec les bonnes pratiques et les bons réflexes et voilà ce que ça a donné!

PREMIERE QUESTION:

© in-fuseon.com

« Je suis entrepreneur et je veux rendre mon informatique plus « verte ». Que me propose SuisseEnergie? »
Vous choisissez naturellement l’arborescence Entreprises>Efficacité énergétique>TIC Informatique verte.
Que faire?

  • Il est trop tard pour vos vieux ordinateurs! Recyclez-les!
  • Avant d’en acquérir de flambant neufs, vérifier le label Energy Star et sa base de données pour tout matériel IT ainsi que la norme TIC  (Technologies de l’Information et de la Communication) en rapport avec l’acquisition des équipements
  • Quant à leur utilisation, on y trouve quelques astuces: équiper chaque poste d’une barrette de prises commutable pour éteindre manuellement les appareils reliés; déconnecter photocopieuses et imprimantes du réseau pendant le week-end et durant la nuit par minuterie externe; maintenir 26 degrés dans les locaux de serveurs et s’inspirer de la norme TIC  en rapport avec l’utilisation des équipements. Les normes TIC ajoutent quelques consignes bien utiles.
  • Finalement, à part pour la climatisation des locaux des serveurs, vous n’avez besoin de personne pour mettre en place votre informatique « verte »! Il faut « juste » disposer du cash pour renouveler progressivement le parc.

DEUXIEME QUESTION:

« J’ai besoin de changer ma télé et je veux acheter l’appareil le plus « vert » possible. Que me propose SuisseEnergie? »
Vous choisissez naturellement l’arborescence Habitat › Appareils électroniques › Etiquette-énergie pour les téléviseurs

Que faire?
Votre réflexe se porte naturellement sur l’étiquette énergie de l’appareil. Voici quelques informations bien utiles pour trouver l’appareil de vos rêves:

  • Tout d’abord, pour ceux qui ne veulent pas renoncer aux appareils électroniques tout en économisant l’énergie: pensez à éteindre complètement tous les appareils, éliminez les veilles (stand-by) et économisez un mois d’électricité.
  • A partir du 1er janvier 2012, l’étiquetage des téléviseurs devient obligatoire en Suisse. « Les nouvelles étiquettes d’efficacité énergétique ont une présentation différente, affichent des informations complémentaires sur les appareils et ont été étendues aux classes d’efficacité A+, A++ et A+++ « , site de l’EAE.
  • En lien avec le stand-by mentionné ci-dessus, vérifiez  si l’appareil est équipé d’un véritable interrupteur d’alimentation (voir symbole de l’interrupteur en 3 sur l’étiquette).
  • Avec un modèle à LED, la consommation de courant est jusqu’à 60% inférieure à celle d’un téléviseur à écran plasma.
  • Pour comprendre la nouvelle étiquette, téléchargez la fiche d’informations sur l’étiquette-énergie pour les téléviseurs du site de SuisseEnergie
  • En option, vous pouvez commencer la recherche d’une marque de téléviseur par sélection de critères de recherche sur le panorama du marché des TV.
  • Et surtout, comparez les appareils et leur positionnement énergétique sur le site non commercial de Topten sous divertissement>téléviseurs. Vous devrez connaître la largeur d’écran que vous souhaitez. Un petit bémol sur le processus pour en arriver là à partir du site de SuisseEnergie: si vous suivez l’arborescence jusqu’aux téléviseurs, vous ne passerez pas par la case Topten…sauf si vous avez fait un tour à Electronique de divertissement avant l’Etiquette-énergie pour téléviseurs!
  • Ca m’a pris environ 5 min pour faire le tour de cette information et
    15 min pour vous la retransmettre à ma façon.

Maintenant à vous de jouer! Posez-vous des questions et suivez le jeu de « l’oienergie ».

Rien de tel que des chiffres pour attiser les consciences de notre société très rationnelle. Les chiffres comme les images parlent d’eux-mêmes sans besoin de commentaires superflus. Voici notre 2ème article sur Fukushima, le 1er ayant été publié 10 jours après la catastrophe du 11 mars, dans la foulée du sentiment de révolte et d’impuissance qui m’avait envahie.

WE LOVE ATOM de Noriaki Imai ©in-fuseon

Avant de faire le tour des chiffres, je veux donner un petit coup de pouce à la très généreuse initiative de l’atelier Medamothi qui expose les travaux de 43 artistes japonais jusqu’au 4 décembre pour reverser les dons à la Croix rouge du Japon. Si vous habitez sur le canton de Vaud en Suisse, c’est à une vingtaine de km au nord de Lausanne. Sinon vous pouvez télécharger l’image de votre choix pour 50 Euros.

J’ai personnellement choisi l’image d’ATOM de l’artiste Noriaki IMAI qui symbolise le déclin fondant de l’ère nucléaire au Japon, pays qui l’avait pourtant couronné en grandes pompes il y a près de 50 ans – Titre de l’oeuvre: « FUKUSHIMA NUCLEAR POWER STATION (We love ATOM) »

LES CHIFFRES:

C’est l’arrêt de l’alimentation électrique qui a empêché le refroidissement des réacteurs nucléaires endommagés et qui a provoqué la crise nucléaire.
Avec les radiations nucléaires, les conséquences n’arrivent que plus tard. Certes il y a eu malheureusement quelques décès immédiats aux alentours de la centrale. Mais quelles conséquences à partir de maintenant pour les populations, la faune et la flore terrestre et marine?

  • Evacuation de 80’000 personnes dans un périmètre de 20 kms plus 30’000 dans un périmètre de 30 kms au moment de la catastrophe
  • « Des échantillons de sols prélevés à environ 60 kms de la centrale montrent une exposition à des doses de radiation jusqu’à 20 fois supérieures à la dose au delà de laquelle on estime inacceptable le risque de cancer », La Revue Durable de sept/oct selon le Criirad
  • Les pastilles d’iode devant saturer la thyroïde en iode non radioactif (empêchant ensuite la fixation de l’iode radioactif) n’ont été distribuées que cinq jours après le 11 mars
  • Selon le gouvernement japonais, plus de 160’000 personnes ont été « scannées » en mars 2011 et aucun cas d’irradiation grave n’a été décelé!
  • 5 mai 2011: 1ère visite « humaine » possible des réacteurs depuis la catastrophe
  • 103 ouvriers ont travaillé à Fukushima et ont été exposés aux fortes radiations cumulatives. L’un d’entre eux est décédé d’une leucémie et 3 autres ont été gravement brûlés
  • Accident nucléaire de niveau 7, niveau maximum sur l’échelle internationale  (International Nuclear Event Scale)
  • Difficile pour l’instant de déceler les cancers potentiels dus à l’irradiation face au risque de 40% en moyenne de contracter un cancer pour une toute autre raison
  • Fukushima a distribué des détecteurs de radiation à 280,000 enfants d’écoles primaires et secondaires. Le temps de jeux extérieurs est limité à 2 ou 3 heures par jour.
  • Les compteurs Geiger sont les gadgets les plus populaires jusqu’ à Tokyo
  • Une étude a été lancée pour vérifier la thyroïde de 360’000 jeunes de moins de 18 ans avec l’objectif de les suivre tous les 5 ans. De même auprès de femmes enceintes proches des zones sinistrées. Or cette étude a donné peu de résultats car moins de la moitié des gens y ont répondu. La population a fui et déménagé depuis
  • 2’300 mères japonaises de 28 préfectures du Japon ont organisé un « sitting » en septembre et octobre à Tokyo pour demander la protection de leurs enfants par l’obtention du droit d’évacuer les zones contaminées. Le droit d’évacuer est financé par le gouvernement uniquement si le taux de radioactivité de la zone est de plus de 20 millisieverts par an!

Several thousand people are marching in downtown Tokyo calling on the government to abandon nuclear energy, Sept. 19, 2011 (Photo: Koji Sasahara / AP)

  • Contamination  de l’airévaluation scientifique des émissions de Xenon-133 and Césium-137 dans l’atmosphère dans les 3/4 jours qui ont suivi le tsunami:
    • les émissions de 133Xe ont été évaluées à 16.7 EBq (exabecquerel), ce qui représente la plus grande émission radioactive historique de ce gaz, non associée à un test de bombe nucléaire!
    •  les émissions de  137C sont été évaluées à 35.8 PBq, ce qui équivaut à environ 42% des émissions de Chernobyl
  • Détérioration des niveaux de contaminations radioactives à Fukushima-city, (ville de 300’000 habitants à 60 km de la Centrale) en septembre
  • Contamination alimentaire: taux de radioactivité de l’ordre de 500 becquerels par kilos sur du riz récolté à 56 kms de la centrale en septembre. « 40 sites présentaient des taux excédant 5000 becquerels par kg (limite maximum  du gouvernement pour récolter et faire pousser du riz) ». Le 17 novembre, le gouvernement décrète l’embargo sur le riz de la région de Fukushima. L’embargo vise 154 fermes rizicoles, qui produisent au total 192 tonnes de riz par an!
  • Contamination de la mer15’000 terabecquerels ont été rejetés dans l’océan par la Centrale de Fukushima. Des niveaux de 10’000 becquerels par mètre cube (100’000 en avril 2011) ont été détectés en juillet 2011. Des taux dépassant les 500 bq/kg ont été constatés sur 18 espèces de poisson et de fruits de mer.
  • Les terabecquerels de Cesium 137 déversés de mars à Mai dans la mer et dans les airs sont légèrement supérieurs aux quantités rejetées par les essais atomiques dans le Pacifique!
  • Et malgré tout ça….les touristes retournent au Japon: A Kyoto alors que les taux d’occupation étaient de 30% en mars/avril 2011 (contre 95% en 2011!), l’été a été marqué par une reprise avec des taux avoisinant 70%.
  • De nombreuses zones autour de Fukushima pourraient être désertées  pendant des décennies avec des taux de 500 millisieverts par an (contre 1 mSv pour la limite légale qui a été augmentée à 10 mSv après la catastrophe et même 20 mSv pour la préfecture de Fukushima).
  • Et pour finir, 3 jours avant l’embargo sur le riz, visite guidée en images de la centrale de Fukushima par les autorités japonaises pour montrer que tout est rentré dans l’ordre! A vous d’en juger!

Ce sont les conséquences sociales, environnementales et économiques que le peuple japonais supportent désormais.

Sources d’information:
Wikipedia

Huff post Green 

Fukushima Green actions

Reuters, plan d’évacuation

2000watts.org

Criirad

©efef Cérémonie d'ouverture

L’EFEF (European Future Energy Forum) a eu lieu du 10 au 12 octobre pour la 1ère fois en Suisse à Genève. Le forum organisé sous l’égide du Doctor Sultan Al Jaber, CEO de Masdar, la ville des futures énergies aux Emirats Arabes Unis, a mis en scène des stars politiques (Micheline Calmy Rey, présidente de la Suisse, industrielles (Vestas, un leader de l’éolien) et de l’innovation (Bertrand Piccard et son avion solaire Solar Impulse). Le futur des énergies n’est-il l’apanage que des grands et des puissants? Ou bien les initiatives plus modestes de certaines start-up ou PME peuvent-elles faire la différence?

« We need an energy revolution rather than an evolution, simply because 7 billion people are in need of it », Doctor Sultan Al Jaber

DES ENTREPRISES A SUIVRE…ET A SOUTENIR

  1. Alors que les prix du solaire photovoltaïque s’effondrent:

Photo extraite de http://ecologie.blog.lemonde.fr

  1. alors que les énergies vertes nécessitent 500 à 700 milliards d’Euros d’investissements dans des infrastructures et dans une gestion intelligente d’un nouveau réseau de type Smart grid en Europe

  2. alors que le mix énergétique compte de plus en plus sur l’éolien pour atteindre les 20% d’énergies renouvelables d’ici à 2035 sans compter sur les oppositions des communautés locales

  3. alors que l’efficacité énergétique  est sur toutes les lèvres pour tenter de juguler nos appétits énergétiques croissants

Des start-up et des entreprises innovantes suisses avancent progressivement leurs pions et méritent toujours plus de visibilité. Elles étaient bel et bien présentes sur le pavillon suisse pendant l’EFEF.

Domaine de l’industrie solaire photovoltaïque:

Photo extraite de www.indeotec.ch

INDEOtec:
le process industriel du solaire en couches minces!
Basé à Neuchâtel depuis 2007 et émanant de l’IMT-EPFL, INDEOtec cible tous les labos de R&D des fabricants mondiaux de solaire PV en couches minces. « Les machines conçues spécifiquement pour chaque projet améliore les rendements de fabrication grâce à des procédés toujours plus poussés d’automatisation et d’intégration des différentes étapes de fabrication », m’explique Dr. Omid-Reza Shojaei.
Ceci contribue à baisser les coûts d’accès aux cellules en silicium amorphe ou combinées avec du silicium cristallin.

©in-fuseon

Cleanfizz: 
le solaire tout propre !
Cleanfizz a déjà fait l’objet d’un de nos coups de coeur pendant le salon mondial des énergies du futur.  Cleanfizz c’est l’auto – nettoyage des panneaux solaires et des grandes surfaces vitrées. Sable, poussière ou neige, tout y passe, grâce à l’idée de génie de George McKarris. Les surfaces réagissent à un champ électrostatique actif et le miracle se produit en 30 secondes. Cleanfizz a été médiatisée dernièrement sur Swissinfo et aussi dans la Tribune de Genève.

Domaine de l’industrie solaire thermique:

©in-fuseon Cédric Petit Jean, Deputy manager

SRB Energy: 
le générateur solaire thermique tout terrain!
« 40% des besoins énergétiques sont sous forme de chaleur entre 200 et 400°C. La question est d’obtenir des subventions dans le solaire thermique au même titre que le solaire PV. Ce qui n’est pas le cas pour l’instant », explique C.Benvenuti, l’inventeur du panneau.
Et pourtant, ce panneau a tout pour réussir!

  • puissant: atteint des températures de 400°C
  • utilisable pour toutes les applications industrielles de production d’eau chaude et de chaleur
  • économe en besoins d’ensoleillement
  • durable: plus de 20 ans
TVP Solar:
le générateur solaire thermique pour les climatisations!
Il semblerait que la technologie de TVP Solar soit très similaire à celle de SRB Energy puisque l’un des fondateurs est un ancien collègue scientifique de C.Benvenuti, quoique pas aussi performante côté température. Voir l’interview du quotidien Le TempsLes acteurs du solaire thermique ont certes besoin « d’éduquer » et de créer leurs marchés encore émergents.

Domaine du stockage de l’énergie:

Dans ce domaine, les grandes et les petites initiatives se côtoient.

©in-fuseon

Dans une allée de l’EFEF, trônait Gemasolar, le gigantesque et premier projet mondial de centrale solaire thermique à concentration prête à être commercialisé. Son inauguration en Espagne a eu lieu en octobre avec les représentants de Masdar, partie prenante du projet.
Cette technique emmagasine l’énergie solaire sous forme de vapeur sous pression avant de la transformer en électricité et règle le problème de l’alternance jour/nuit.

©in-fuseon Dr. Sylvain Lemofouet (à gauche) et son nouveau collègue

A l’opposé de l’allée de Gemasolar et ses millions d’investissements pour bâtir ce parc solaire, voici Enairys, start-up émanant du parc scientifique de l’EPFL qui développe une solution de batteries de cylindres haute pression qui convertissent et gèrent l’énergie en fonction de la demande. « Notre système HyPES est toujours « ON ». On entre dans la phase de prototypage avancé et bientôt en industrialisation », Dr. Sylvain Lemofouet inventeur du système.

Domaine de l’efficacité énergétique:

Quand on parle d’efficacité énergétique, il y a 2 façons principales de faire: soit économiser en évitant de dépenser l’énergie (par exemple en gérant les stand-by), soit en récupérant l’énergie produite et qui serait gaspillée. Donc le mot d’ordre, c’est la chasse au gaspi!

Deux entreprises ont retenu mon attention:

©in-fuseon Vincent Balegno et Michaël Dupertuis de Geroco et moi même

Ecowizz:
Soyez branché, économisez!
Conçue par les 3 fondateurs de Geroco, Ecowizz s’adresse à tout un chacun qui veut éliminer les stand-by des appareils électro-ménagers de son domicile. 10 à 15% d’économies possibles, c’est intéressant! Ce qui se fait à la maison, peut également se faire au bureau. Après avoir commencé à séduire la Suisse romande, Ecowizz s’apprête à conquérir le marché Suisse allemand et au-delà!

©in-fuseon

Eneftech:
Récupérez et valorisez les rejets thermiques!
« Eneftech récupère toute les pertes de chaleur générées par une chaudière, un chauffage urbain ou une unité industrielle pour les transformer en électricité, voire même en chaleur. On s’adresse aussi bien aux industries lourdes qu’à des partenaires immobiliers qui veulent améliorer la performance énergétique de leurs bâtiments », m’explique Antonio Mendès, directeur commercial.

Pour en savoir plus sur l’EFEF, quelques liens utiles:
– Article de la Tribune de Genève: « Les cleantechs, effet de mode ou véritable enjeu? »
– Emission TSR L’invité du 12h30 le 11.10: Eric Plan de CleantechAlps 

Edith Page, coworker depuis janvier 2010

Un grand merci à Renatus, Annick, Yves, Barbara, Yann, Frédérique, Sandy, Claire, Emma, Pauline, Sandra, Christophe, les créateurs de messages « propres » qui se sont lancés dans l’exercice périlleux que je leur proposais le 15 septembre à l’espace de La Muse.

Appréciez par vous même en découvrant les résultats sur les 3 situations proposées: les énergies renouvelables, la consommation d’électricité et l’environnement.

L’AMBIANCE DU 15 SEPTEMBRE A LA MUSE

COMPLET! Les portes ouvertes de l’espace de co-working de La Muse à Genève le 15 septembre lors de la nuit des Bains ont affichées complet. Ce fut une belle soirée à La Muse!

450 personnes ont sillonné les 3 étages du 2 rue de La Muse au gré des échanges avec la quinzaine de coworkers qui avaient préparé des animations en lien avec leurs activités et leurs métiers.

Comme je vous l’avais annoncé dans « Invitation le 15 septembre: les coworkers de La Muse se dévoilent! », j’ai occupé personnellement un « corner » de l’aquarium sur un thème qui se place au coeur de mon activité de communication:

LES MESSAGES

LE JEU: CHOISIR, SE QUESTIONNER, INVENTER

Vous n’étiez pas parmi nous le 15.9? Amusez-vous!
Suivez la démarche accessible que j’ai proposée pour cette soirée spéciale et qui s’appuie sur la méthode in-fuseon™concept que j’ai développée pour les stratégies de communication d’entreprise.
Si les 3 thèmes ne vous conviennent pas, la démarche s’applique à toute situation, celle de votre entreprise ou de votre projet par exemples. Alors CHOISISSEZ!

 ET CHOISISSEZ UN SEUL MOT EN REPONSE A CHAQUE QUESTION…

QUELS MESSAGES POUR QUELLES SITUATIONS?

Le thème environnemental de la banquise a été le plus choisi. Il est vrai qu’il symbolise l’impact mondial du réchauffement climatique et fait surgir les peurs et l’envie de protéger.

Chacun a trouvé ses « propres » messages avec ses « propres » mots.

THEME DES ENERGIES RENOUVELABLES EN SUISSE:

« NOTRE CONSCIENCE+NOS RESSOURCES
= S’ADAPTER POUR PARTAGER », Renatus

THEME DE L’AUGMENTATION DE LA CONSOMMATION D’ELECTRICITE:

« AGISSONS POUR NOTRE AVENIR EN ECONOMISANT DES MAINTENANT », Annick

« CHOISIR LES BONS APPAREILS, C’EST FACILE », Yves

« MON CONFORT AVEC BONNE CONSCIENCE », Yves

« POUR CHANGER, ATTENDRE QUE CE SOIT TROP CHER? », Yves

THEME ENVIRONNEMENTAL DE LA FONTE DE LA BANQUISE ET DU CHANGEMENT CLIMATIQUE:

« REAGIS AVANT LA FIN! », Emma et Pauline

« L’INNOVATION SANS FIN », Sandy

« INFORMATION-ACTION-REACTION », Frédérique et Claire

« PARLEZ! DES MOTS AUSSI PEUVENT SAUVER DES VIES », Barbara

« ECRIRE POUR LES BERGERS DE RENNES AVEC UN PIED DANS CHAQUE MONDE », Sandra

« 2C° DE +, TU NAGES! », Yann

« BAISSE LE CHAUFFAGE! », Yann

« +2C° ET LA BANQUISE DISPARAIT…TRANSFORMONS LE MONDE EN NE PASSANT PAS CE SEUIL », Giorgio

« ENTREPRENDRE POUR UNE PROSPERITE JUSTE ET EQUILIBREE », Christophe

« LET’S STIMULATE ECO-FRIENDLY BEHAVIOUR », Christophe

Quel message vous parle le plus?

Et vous, voulez-vous bien partager vos messages avec nous? Merci pour vos contributions, infos, idées et messages!

En complément de l’article « La pensée contemporaine en messages « propres » inventés par vous », je partage avec vous l’image d’un tableau qui était exposé à La Muse par Miss Mixt, collectif d’artistes fondé par 2 autres coworkers Frédérique et Eve.

Travail photographique sur plaque métal.
Il s’agit d’un éco-quartier d’Amsterdam. Magnifique non?

"Vers Amsterdam"